Le projet, si l'on peut parler de projet, de Monsieur GEHIN était concurrent à celui présenté par les investisseurs apportés par notre association, puis les semaines passant le projet de Monsieur GEHIN a fini par ressembler étrangement à celui de nos investisseurs publié dans le journal L'Est Républicain à l'époque.
Puis les années passant sans qu'il ne se passe rien, nous avons interpelé Monsieur GEHIN en 2011.
- Mes investisseurs n'ont plus d'argent, c'est la crise nous répond-il.
Il tente néanmoins de revendre la batisse 3 à 4 fois plus cher qu'il ne l'a achetée tout en l'ayant dépouillée.
A sa demande nous avons repris le flambeau et travaillé durant 6 mois pour réunir notre équipe qui s'est dite prête à relancer. Le jour même où nous l'annoncions au propriétaire ce dernier nous fait savoir qu'il venait de signer un compromis de vente avec des parisiens la veille.
Renseignements pris, il s'est avéré que ce fut à nouveau un gros mensonge, qu'en réalité, l'avenir le montrera, il souhaitait faire un profit à la revente.
L'intervention de la nouvelle municipalité en place depuis 2020 ne semble guère remporter de succès et le bâtiment, restant sans entretien, semble devoir faire face à son triste sort.